Tous les albums sont réalisés à titre personnel, privé, et bibliophilique, sans intérêt lucratif ou promotionnel quelconque.
Ces albums ne sont pas des "pirates" comme beaucoup ont, trop rapidement, tendance à le dire : il s'agit de copies privées (article L.122-5 2° du Code de Propriété Intellectuelle) ou de "bootlegs" pour reprendre le terme anglo-saxon utilisé surtout dans le domaine musical et qui m'a été soufflé par un internaute fan de Tintin et de musique (pour plus de précisions, voir le nota bene plus bas).
Je recherche à élargir le cercle de passionnés de BD qui s'engageraient, directement ou indirectement, à soutenir ou à contribuer à mes recherches, ou restauration numérique, de planches ou de BD inédites en album pour d'autres futurs albums privés.
Je peux être interrogé au sujet de ces albums par l'intermédiaire de la fiche "Contact" du présent blog. La réimpression d'un album peut être envisagée pour tous ceux qui m'aideraient ou contribueraient d'une manière ou d'une autre à ma démarche, et selon les cas et la rareté, des échanges gratuits de scans ou de fichiers numériques sont possibles.
Enfin, je suis preneur de toutes idées sur des éventuels autres albums BD de récits inédits, en version originale, rares, peu connus...
Toutes les images et les contenus restent la propriété exclusive des auteurs ou leurs ayants droits. Leur présentation ici est une illustration de ce qu'il est possible de faire à titre personnel et dans le cadre de l'exception de la copie privée.
NB : La copie privée ou le bootleg n'est ni un pirate, ni une contrefaçon.
La contrefaçon est la fabrication à l'identique, sans autorisation, d'un objet du commerce. Le "pirate" est la reproduction non autorisée à but commercial d'un objet protégé par un droit d'auteur.
Il semble que le "bootleg", dans son acception "culturelle", soit apparu dans les années 1950 aux USA où des fans de blues ou de jazz gravaient des compilations de vieux 78tr que les labels se refusaient à (re)sortir. Il connut aussi ses heures de gloire dans les années 1960 et 1970 à partir de la scène musicale rock et pop où des enregistrements de concerts par des particuliers s'échangeaient entre fans.
Je serais donc un "bootlegger" sur papier, essayant de préserver un patrimoine et cherchant à élargir un réseau de contributeurs passionnés de BD...